• Ou : "tomber" dans un Immense Amour ...

    Petite définition : "La passion est liée aux caractères biochimiques qui attirent deux êtres entre eux (accessoirement plus de deux, mais l'esprit de ce second sujet n'est pas compris dans cet article) ; cela implique ce que l'on nomme habituellement « le coup de foudre » qui lie sexuellement deux êtres au point qu'il n'existe plus rien d'important en dehors.

    De ce fait, résultent les états d'esprit des « passionné(e)s amoureu(ses)x » qui ne conçoivent plus le concret qui les entourent ; on dit qu'ils(elles) vivent sur un nuage avec pour toute nourriture l'amour et l'eau fraîche.

    La passion dans le domaine de l'Amour correspond parfaitement à une osmose dans l'instant T des sentiments et de l'attirance physique." (source : Wiki)


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  • Enfin IL est là ... la nature renaît pour un nouveau recommencement ..........

     

    Photo prise depuis ma terrasse


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  • Un être humain a énormément de difficultés à accepter la différence des autres… Oh ! Certes, nous n’arrêtons pas d’évoquer le droit à la différence, nous nous offusquons face au racisme et à l’intolérance. Tout ceci est plus que louable ! Mais qu’en est-il vraiment ? Sommes nous déjà seulement capable d’accueillir la différence des êtres qui vivent sous notre toit ? Oui ? Oui et non ?

    Ce sont souvent les êtres que nous aimons le plus que nous écoutons le moins ! Comment se fait-il ?

    Simplement nous pensons tellement bien les connaître que nous ne songeons même pas à vraiment les écouter. Dès qu’ils commencent à parler, nous imaginons déjà la suite pour répondre à leur demande (celle que nous avons imaginée, mais pas forcément celle qu’ils exprimaient !)

    Plus nous croyons connaître l’autre, moins nous savons l’écouter car la conscience que l’autre est " autre " nous échappe en permanence.


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  • Je voudrais parler dans mon blog, de LA PASSION AMOUREUSE, celle que j'ai vécu et que je ne regrette pas d'avoir connu (une des plus fortes et des plus exaltantes émotions qu'il m'a été donné de vivre et que j'espère sincèrement revivre un jour, même si le prix à payer est élevé et la contrepartie extrêmement douloureuse).

    J'ai trouvé cet article qui analyse très bien cette émotion.

    "La passion amoureuse peut-elle durer ? (par Marie Andersen)

    Non.

    Voilà c'est dit, autant être clair dès le début, l'état passionnel ne dure pas. Encore faut-il s'entendre sur les mots : " La passion est une émotion puissante et continue, qui domine la raison ". C'est Larousse qui le dit, mais je suis assez d'accord !

    L'amour dure, oui, et varie au cours du temps. " L'amour est un sentiment très intense, un attachement englobant la tendresse et l'attirance physique entre deux personnes ". Nous voilà clairs au moins sur ces deux définitions. Mais nous contenterons-nous de cette brièveté ? Tant de livres, et avant eux de parchemins, se sont consacrés à la question. Tant de poètes, encore chantants ou disparus, nous en font l'éloge…

    Nous sentons tout de suite que c'est en partie là que se situe le creuset de cette question. Parce que justement, ce que chantent les poètes, c'est la passion, et lorsqu'ils pleurent c'est parce qu'elle leur échappe. Et avec eux les livres, les films, les chansons, les affiches publicitaires et les contes de fées, tout concorde à entretenir l'idée que l'amour doit être passionnel ou ne pas être…

    Or la passion, ceux qui l'ont vécue le savent, nous fait pousser des ailes dans le dos, nous donne envie de chanter sous la douche, nous porte aux sommets du bonheur et plus haut encore, mais elle nous tourmente également, nous ravage et parfois nous envoie droit dans le mur ou dans les profondeurs obscures des tortures de l'âme… Est-ce si sain finalement ?...

    En fait, tout se passe un peu comme si, lorsque nous rencontrons une personne dont nous tombons amoureux (tombons ? Tiens déjà ce mot, c'est curieux…), quelque chose s'allume en nous face à une série de critères qui nous attirent. Pourquoi ? Devrions-nous les analyser ? Ou nous laisser porter par les mystères de l'Amour ?

    Imaginons un instant que nous soyons tous composés d'une centaine de pièces, comme un puzzle. Lorsque nous tombons amoureux, surtout s'il s'agit d'un coup de foudre, de combien de pièces du puzzle de l'autre sommes-nous conscients ? Dix ? Vingt ? Rarement plus. (J'aime sa voix, sa façon de bouger, son sourire me fait fondre, sa timidité me trouble, et le récit de son voyage était tellement passionnant… Et puis, ces chaussures rouges ! Mmmhh…) Je me trouve à ce moment dans une période de ma vie propice à l'amour, soit  je suis en manque, soit j'en vis un qui s'essouffle, peut-être suis-je irrémédiablement romantique, mais c'est comme ça, boum, je " tombe " amoureux et entre dans la passion. Cela veut dire que je me mets à aimer de façon somme toute assez irrationnelle quelqu'un que je ne connais pas encore très profondément. Je l'aime de façon passionnelle parce que je sais (je sens ?) qu'il est mon Idéal, mon âme sœur, mon Autre, mon complément, celui ou celle que j'attendais, qui est fait pour moi, toute cette route derrière moi n'a eu pour seul but que de me mener à lui ou à elle.

    Alors là, deux possibilités, (D'accord, cette manière de décortiquer les choses de l'Amour n'est pas du tout romantique, vous pouvez arrêter votre lecture ici, je ne m'en vexerai pas ! Mais je sais que vous continuerez… Aaah, l'amouuur !), soit cette passion est réciproque, soit elle ne l'est pas ! Aïe !

    Si elle ne l'est pas ? Ce n'est pas le sujet de cet article, nous verrons une autre fois. Mais si nous sommes tous deux emportés par la passion, la puissance multiplicatrice de ce phénomène merveilleux ne fait que nous confirmer l'un l'autre dans la justesse de notre choix. C'est une période bénie, ne le nions pas. Quiconque a vécu une période de passion partagée ne l'oubliera jamais. Ce sont souvent les plus belles années de notre vie amoureuse, ou disons, les plus fortes et elles nous marquent pour toujours. Avec le piège que cela comporte, celui d'une référence, d'un niveau d'intensité qu'on souhaiterait infiniment retrouver…

    Parfois même si la réciprocité n'est pas parfaite, la peur de perdre l'autre, de ne pas l'avoir tout à fait ne fait qu'intensifier notre passion. Le sentiment de manque, qui confine parfois à la douleur est intense et nous l'interprétons comme un signe certain d'amour…

    Mais revenons à notre puzzle. Que se passe-t-il pendant cette période passionnelle ?

    Prenant appui sur la vingtaine de pièces qui nous enchantent, qui nous charment (tiens, là aussi des mots à double sens…), nous n'attendons rien d'autre qu'une confirmation évidente que les 80 autres pièces nous plairont tout autant ! Nous sommes sûrs que ce sera le cas, parce que nous ne pouvons tout simplement pas imaginer autre chose. C'est ça que nous voulons, c'est ça que nous aimons. Nous aimons donc la projection de nos fantasmes. Nous aimons notre désir d'aimer, nous sommes dans notre propre besoin, dans notre besoin de fusion et d'amour inconditionnel. Comme aux temps heureux où nous étions un petit bébé qui n'avait aucune conscience du fait qu'il était un bébé ! Il se sentait merveilleusement bien dans les bras de sa maman, souriait aux anges, se sentait contenté au moindre de ses besoins, entendu, câliné, reconnu, aimé sans conditions, qu'il aille bien ou mal…

    Non que nous souhaitons revenir au stade bébé, mais au fond de tous les anciens bébés heureux s'est inscrite cette nostalgie d'un paradis perdu, que la poésie ou le langage populaire traduisent volontiers par des mots tels que " ma moitié, mon alter ego… " Et si cette période première de notre vie n'a pas été si heureuse que cela, elle peut aussi s'être inscrite en creux, en manque, en besoin à peine effleuré et jamais assouvi, que nous essayerons désespérément de retrouver à travers la passion amoureuse.

    Dans les premières semaines, voire les premiers mois de cette relation d'amour, nous irons instinctivement vers les nouvelles " pièces " à découvrir qui nous conviennent et l'enchantement continuera. Aussi longtemps que possible. Parce que le plaisir et la joie amoureuse sont des émotions tellement merveilleuses que nous faisons tout ce qu'on peut pour les faire durer. (Sauf les saboteurs, mais ça c'est une autre histoire…)

    Mais la perfection n'étant PAS de ce monde malheureusement et un jour viendra où nous découvrirons une pièce " imprévue " ! Ciel !

    L'amour est aveugle, dit-on. L'amour, je ne sais pas, la passion certainement. Alors, c'est que je me suis trompé, ce n'est pas possible, et je referme le tiroir aussi vite. Mais les jours passent et je dois bien me rendre à l'évidence que la personne que j'ai en face de moi, dans mes bras, dans mon lit, n'est pas celle que je croyais ! Elle est différente de " mon projet ", de mon idéal… Mince ! Que fais-je avec cela ?

    De deux choses l'une : soit, la découverte est insupportable, on commence par dire " Tu as bien changé depuis qu'on se connaît ! " avec tous les reproches que cela comporte, " Je ne te connaissais pas sous cet angle ! " Ben, forcément ! Et on rompt. Tant bien que mal. (L'Art de bien rompre, tiens voilà un autre article en vue…)

    Soit la découverte est surmontable, c'est ce que l'on vous souhaite, et vous découvrez que l'être aimé est AUTRE que votre idéal, mais qu'il est formidable néanmoins et mérite certainement votre amour.

    Amour… Oui, parce qu'ici, en effet, les sentiments qu'on portait à cette personne se colorent différemment, ils se nuancent de réalisme, quittent l'exaltation pour entrer dans une phase plus calme, mais sans doute plus profonde. Plus respectueuse aussi, parce que dans l'acceptation d'un autre vraiment autre, ne répondant pas à toutes nos attentes, mais nous apportant des cadeaux inattendus !

    C'est parfois une époque fragile dans la vie d'un couple, mais elle est inévitable et nécessaire pour entrer dans la durée, dans l'engagement, et nous aurons de belles années pour prendre le temps de découvrir toutes ces petites pièces que nous ne connaissons pas encore.

    Surprises, surprises...

     


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  • Même si je n'y crois plus trop ... il faut avouer que la quête du Très Grand Amour est un défi que nous sommes nombreux à vouloir relever.

    Aussi, me promenant ce jour entre les rangées de livres, je suis tombée sur un roman qui m'a aussitôt captivée, de par son thème (l'Amour) et le style de l'auteur, absolument exquis.

    Cet homme m'a d'ailleurs fait penser à quelqu'un ... ou alors est-ce une part de chacun de nous ?

    Ce sera le prochain petit cadeau que je me ferai Bisou (finalement j'ai craqué, et l'ai commandé sur Internet ... je suis impardonnable Clin d'oeil mais ça me fait tellement plaisir)

    Résumé :

    "Sur son lit de souffrances, quelques semaines avant de mourir, maman m'avait mis en garde :
    'Qu' est-ce que c'est bête, un homme.
    - Je ne comprends pas.
    - C'est bête, égoïste, et pas fiable. Antoine. Promets-moi de ne jamais te comporter comme un homme.'
    Je me souviens que j'avais hoché la tête. Encore une promesse que je n'ai pas tenue. Je suis toujours resté à l'affût. Même quand j'étais heureux en ménage, ce qui fut souvent le cas, je continuais à rechercher le très
    grand amour, celui qui, selon Spinoza, constitue un 'accroissement de nous-mêmes'.
    C'est exactement la sensation quej'éprouvais en observant la jeune fille aux cheveux d'or. Je m'accroissais. Je m'élevais aussi.'
    Franz-Olivier Giesbert "

     


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