• Je capitule

    Ce matin : levée, très mal.

    Arrivée à Voreppe, j'ai tourné au rond-point direction ... chez moi.

    C'est décidé, je ne peux plus travailler.

    Je vais aller voir mon médecin et l'implorer de m'arrêter, quoi qu'à mon avis, il a bien mesuré mon degré de souffrance et de mal-être ....

    Je ne peux pas avoir d'état de conscience, car il arrive un moment où la santé devient plus importante et fondamentale que le travail.

    Cela fait des mois que je lutte pour ne pas en arriver là, mais je dois accepter cet état de fait : je suis malade et j'ai besoin de REPOS.

     


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