indifférent
Si je n'écris plus, car cela nous fait trop mal, je lis..., moi l'indifférent (quelle pique, mon dieu...). Chaque mot écrit de ma part est un pas en arrière vers les fantômes et nos rêves partagés évanouis. Ecrire pour dire quoi d'ailleurs : je ne pourrais te dire ce que tu attends de moi(...attendais ?), puisque l'innomable a été dit, tu le sais. L'ami, le confident, celui qui te connaît plus que personne, est content de lire ces lignes et se réjouit sincèrement pour toi. L'autre, celui qui t'a tant aimé qu'il en saigne encore et revient se mortifier quotidiennement sur ce blog à lire des insinuations et devinettes, des demi-vérités ..., n'a plus rien à dire. Nous ne sommes pas dans le même espace temps. Si seulement je pouvais être réellement indifférent. C'est mon souhait : vivre l'indifférence... Bon vent d'ouest à toi, G. Adieu.